Aujourd’hui vendredi 17 février, c’est la Journée Mondiale de la Résilience du Tourisme, proclamé au début de ce mois par les Nations Unies (ONU) et que tous les pays du monde devraient célébrer.
Pourquoi la Tunisie, particulièrement, devrait célébrer cette journée ? C’est certainement l’occasion de démontrer que le tourisme n’est pas un secteur fragile et aléatoire.
C’est pour prouver que le tourisme est comme le roseau : il plie mais ne rompt pas. Il est toujours là, debout. Il a pu et su, à travers des décennies, surmonter plus d’une crise : les guerres du Golfe, les attentats de New York et de Djerba ; et plus récemment la (pseudo) révolution et ses conséquences désastreuses, les attentats terroristes, les guerres et les conflits, les catastrophes naturelles et les pandémies,
C’est pour répondre à ses détracteurs que l’argent investi dans le tourisme a ramené beaucoup de devises à la Tunisie, a soutenu l’agriculture, l’industrie, le transport et l’artisanat. Il a créé des milliers de postes d’emploi.
Le tourisme est résilient, résistant et solide, beaucoup plus et mieux que plusieurs autres secteurs. Il a ses basses et hautes saisons. Il passe par les creux de la vague ; mais il se relève et rebondit.
Cette Journée vient au bon moment pour dire du bien du tourisme, redorer son blason et vanter ses mérites.