Il est désolant de constater que le Tourisme est totalement absent et ignoré du programme et de l’ordre du jour des trois piètres Présidents qui dirigent ce malheureux pays, lors de leurs visites à l’étranger et de leurs rencontres avec leurs homologues étrangers ; et ce avec les partenaires les plus importants du tourisme tunisien : la France, l’Italie, l’Union Européenne, la Libye, le Qatar… Est-ce par oubli, par négligence, par méprise ou par méconnaissance que le Tourisme est exclu des discussions avec les premiers responsables des pays étrangers, partenaires privilégiés du tourisme tunisien. Pourtant, le secteur a un besoin urgent de cet appui et de cet apport politique. Si la Tunisie a des problèmes financiers, essentiellement, le Tourisme constitue, à coup sûr, une solution pour résoudre ce problème. Mais le secteur n’arrive pas à se faire entendre et à s’imposer sur le plan politique. Pour ce faire, les opérateurs du secteur ont beaucoup de travail à faire et d’efforts à fournir, pour communiquer, vulgariser, sensibiliser et motiver la classe politique à leur cause.