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Extension de l’Aéroport de Tunis Carthage : refus de la formule « clé en main »

L’Ordre des Ingénieurs Tunisiens (OIT), l’Ordre des Architectes de Tunisie (OAT) et la Fédération Nationale des Entrepreneurs de Bâtiment et des Travaux Publics (FNEBTP) ont exprimé leur rejet de la formule ” clé en main” dans l’appel d’offres relatif à l’extension de l’Aéroport International de Tunis Carthage.

Ils ont réclamé, dans un communiqué conjoint, une modification de la forme et du contenu, tout faisant prévaloir l’intérêt du pays.

Ces organisations ont appelé à s’appuyer sur les compétences nationales des architectes, ingénieurs, entrepreneurs et industriels du bâtiment au lieu de faire dominer les grandes entreprises étrangères au détriment des compétences nationales.

Elles ont mis l’accent sur la nécessité d’utiliser les ressources de l’Etat à l’intérieur du pays au lieu de gaspiller l’argent public au profit des entreprises étrangères dans des domaines où l’expertise tunisienne a fait ses preuves.

Les organisations ont souligné la nécessité d’appliquer les lois régissant le secteur, de respecter les procédures en vigueur et d’impliquer les organismes professionnels dans l’élaboration des démarches à adopter dans leurs domaines de compétence dans les différents projets.

Elles refusent toute tentative de monopole de la décision par certaines institutions étatiques et l’exclusion des spécialistes et des professionnels.

Les organisations se sont engagées à défendre la souveraineté de l’Etat et la décision nationale et à ne pas permettre de déléguer la décision à d’autres, qu’ils soient des bailleurs de fonds ou des sociétés étrangères, d’autant que l’aéroport est doté d’un caractère souverain vu qu’il représente la vitrine du pays pour les visiteurs.

Les dits corps de métier ont mis en garde contre le danger instauré par l’Etat, à travers le système d’acquisition de projets prêts dans le cadre de la formule ” clé dans la main “, où l’acheteur public se contente de fournir les terrains et mobiliser les fonds, citant l’exemple de l’académie de la police à Enfidha, l’hôpital de Sfax ou certaines stations de dessalement.

L’Ordre des Ingénieurs Tunisiens (OIT), l’Ordre des Architectes de Tunisie (OAT) et la Fédération Nationale des Entrepreneurs de Bâtiment et des Travaux Publics (FNEBTP) ont exprimé leur rejet de la formule ” clé en main” dans l’appel d’offres relatif à l’extension de l’Aéroport International de Tunis Carthage.

Ils ont réclamé, dans un communiqué conjoint, une modification de la forme et du contenu, tout en faisant prévaloir l’intérêt du pays.

Ces organisations ont appelé à s’appuyer sur les compétences nationales des architectes, ingénieurs, entrepreneurs et industriels du bâtiment au lieu de faire dominer les grandes entreprises étrangères au détriment des compétences nationales.

Elles ont mis l’accent sur la nécessité d’utiliser les ressources de l’Etat à l’intérieur du pays au lieu de gaspiller l’argent public au profit des entreprises étrangères dans des domaines où l’expertise tunisienne a fait ses preuves.

Les organisations ont souligné la nécessité d’appliquer les lois régissant le secteur, de respecter les procédures en vigueur et d’impliquer les organismes professionnels dans l’élaboration des démarches à adopter dans leurs domaines de compétence dans les différents projets.

Elles refusent toute tentative de monopole de la décision par certaines institutions étatiques et l’exclusion des spécialistes et des professionnels.

Les organisations se sont engagées à défendre la souveraineté de l’Etat et la décision nationale et à ne pas permettre de déléguer la décision à d’autres, qu’ils soient des bailleurs de fonds ou des sociétés étrangères, d’autant que l’aéroport est doté d’un caractère souverain vu qu’il représente la vitrine du pays pour les visiteurs.

Les dits corps de métier ont mis en garde contre le danger instauré par l’Etat, à travers le système d’acquisition de projets prêts dans le cadre de la formule ” clé en main “, où l’acheteur public se contente de fournir les terrains et mobiliser les fonds, citant l’exemple de l’académie de la police à Enfidha, l’hôpital de Sfax ou certaines stations de dessalement.

Ils se sont dits surpris du non examiner des volets urbain, économique et technique à court, moyen et long termes, dans le cadre de l’étude d’extension, tout en tenant compte des exigences du marché mondial du transport et de la position stratégique de la Tunisie comme porte d’entrée entre l’Afrique et les pays du nord de la Méditerranée.

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